Vendredi 27 mars 2009 à 0:11




Les lecteurs de ce blog, éclairés par mes écrits, ma ténacité et mon courage, auront vite compris que surgissent de toute part nos ennemis. Loin de le voir comme une fatalité, j'ai décidé de voir l'ennemi, ou "l'obstacle", comme une chance de progrès pour celui qui cherche à s'élever - l'obstacle n'ayant pas grand intérêt lorsqu'on tente de s'enterrer telle une autruche pour ne pas voir sa propre misère intellectuelle. Grâce à moi, nombreux sont les ennemis que vous êtes capables d'identifier. Cela dit, quand on prend un malin plaisir à détester tout le monde, usant des prétextes les plus absurdes comme des clichés les plus durs et les plus répandus pour justifier une telle haine - mais toujours dans la bonne humeur -, des ennemis, il en reste toujours. Avec un peu de bonne volonté, on peut haïr n'importe qui. Les aficionados de ce blog se souviennent des traités de sociologie de l'absurde, qui avaient emboîté le pas à Dictature Scripturale, où j’éructais déjà ma haine de l’autre. Aussi ce pamphlet du jour aura certainement un petit goût de déjà vu, car j’avais déjà fait un sort au Rasta et tout ce qui touche ces cultures chevelus, gardiennes mollassonnes du culte de l’inutilité complaisante et bon marché pour dépravés oisifs.
Pourtant, nous avons bien souvent murmuré son nom en commentaire, usé de son image dégradante pour qualifier un pacifisme surfait pour tarlouzes décérébrées ou une tolérance contradictoire chez mes plus mous mais néanmoins farouches opposants. Nous avons beaucoup parlé des hippies, au point d’en faire l’équivalent de ce qu’est un croque-mitaine ou d’un Mickael Jackson pour un enfant, ou plus généralement, de ce qu’est l’ennemi pour un peuple à la dérive : Un individu/ennemi désigné aux attitudes surexagérées, au physique à la limite de la caricature, un individu qui gangrène l’humanité, et dont les machinations machiavéliques doivent en premier lieu inspirer la crainte, avant de devenir l’élément fédérateur qui sauvera notre peuple de l’asservissement idéologique, voir pire, de l’anéantissement. Viennent donc s’ajouter les hippies à la longue liste de mes ennemis, comprenant déjà les canadiens, les vieux, les pauvres, les guntéïformes, les paysans, les Kevins et autres adolescents suintant l’acné, les mendiants-moignons, les tolérants,  les tibétains, les végétariens, les écolos etc…
Car le hippie, c’est le mal incarné. C’est l’inaction immobile et moralisatrice - paradoxal, non ?- qui pose l’inutile irréfléchi en modèle de maturité et conscience intelligible.

http://groumf.info/imageblog/hippie.jpg(Affiche de propagande anti-hippie, Allemagne, 1930.)

Premièrement, le hippie est généralement atteint de plusieurs tares qui devraient, si le monde dépendait de moi, lui interdire l‘accès à la reproduction : il est écolo ET bien souvent végétarien, et chacun connait la haine farouche que déclenche chez moi ces personnes. Pour ne rien arranger, c’est une lopette pacifiste. Deuxièmement, le hippie est prosélytiste dans l’âme. Il déverse d’innombrables calomnies dans le but d’égarer les esprits faibles, faisant tomber les plus réticents avec drogues et substances qui anéantissent toute faculté de jugement chez son interlocuteur. Ce masque gerbant de pacifisme tolérant n’est qu’une façade pour dissimuler la vérité de l’immense complot qui se trame chez les hippies : La fin de la civilisation et de toute vie comme on la connaît.
Mais comment un individu si insignifiant pourrait influencer notre planète me direz vous ? C’est très simple.
Tout d’abord, par son anti-consumérisme implacable. Le hippie prévoyait, il y’a quarante ans, une crise majeure de l’économie mondiale, et qu’a-t-il fait pour relancer la machine ? A l’instar de tout pauvre qui se respecte, il n’a fait strictement RIEN. Le hippie ne fait jamais rien. Et c’est de la force de son immobilisme qu’il tire toute sa puissance. Car en persistant à ne rien faire, il a, en plus, aggravé la crise économique. Bien sûr, son attitude anti-système ne va pas jusqu’à refuser les aides sociales qui lui permettent d'habiter à l’arrache dans des yourtes plantées en plein champs, qu’il occupe illégalement, se nourrissant pour seulement cinquante euros de légumes par mois, afin de vivre et de donner des leçons qui font de nous des cons supportant le fardeau d’un boulot asservissant que nous détestons, passant à côté des vrais valeurs de la vie. Connards de Hippies. En ne faisant rien pour devenir réellement un marginal, une fois encore, il gagne la partie.
Ensuite, le hippie bien que pacifiste et protecteur des forêts, contribue activement - par son oisiveté - à la déforestation du poumon vert de la planète ainsi qu’au terrorisme international. Car ne rien foutre, pourquoi pas, mais c’est évidemment plus appréciable - et plus supportable - lorsque l’on est totalement défoncé, comme seule une sale sous-merde de hippie peut l’être. Car la drogue, on le sait, finance des groupes armés partout dans le monde qui assoient leur domination sur les régions les plus abandonnées du monde, ou d’innocents civils subissent la lois de barbares obsédés par le pouvoir et l’argent. Si le hippie est pacifiste, par procuration, c’est en réalité l’être le plus malveillant et violent qui soit, et ses mains maculées d’un sang invisible décrédibilise totalement leurs discours de tarlouzes. Sans compter que ce protecteur des espace vert, en appuyant financièrement, avec notre argent, le renforcement des cartels de la drogue, contribue à la déforestation entreprise par les marchants de mort qui pour cultiver plus, gagnent du terrain sur les forêts. Il va s’en dire que tout l’écosystème s’en trouve bouleversé, et du coup, les animaux si chers aux cœurs de ces chevelus crasseux, crèvent comme des merdes. Après personnellement je m’en tamponne de l’écologie, des animaux, et de l’avenir de la planète, c’est juste pour vous faire prendre conscience de la fourberie de ceux qui nous expliquent, dès qu’on leur en donne l’occasion - parce qu’en ce moment c’est tendance les émissions sur les inadaptés sociaux - comment vivre mieux et en complète harmonie avec le monde, en suivant leurs conseils de dégénérés.
Ajoutons que pour consommer sa drogue, le hippie use généralement de feuille pour rouler sa merde. Bien sûr, ils vous répondront utiliser des feuilles de chanvre, ou encore une pipe à eau et ainsi de suite, mais c’est finalement leur seul geste écolo… Si on excepte qu’il contribue au réchauffement climatique en fumant.

C’est un fait, l’oisif chevelu, reconnaissable à son dos bossu, son regard perfide, à ses doigts et son long nez crochus, cherche par tout les moyens à précipiter ce monde dans le chaos, alors qu’il prétend avoir d’excellentes idées et un mode de vie irréprochable pour sauver notre espèce. Haha ! Démasqués, enfoirés de hippies !
Et puis de toute façon, en plus d’être l’instigateur des forces communistes, le hippie en tant que personne, c’est un déchet et puis c’est tout. Le hippie est sale, marche pieds nus pour cultiver les champignons sous ses ongles qu’il espère hallucinogènes, il est mou, tient des propos incohérents, ne bouge pas, joue de la musique de merde sur une guitare mal accordée, accompagné généralement par les même loques que lui, chantant flasquement des chants propagandistes ou tapant sur de petits tam-tam à la con, autour d’un feu de camp. Saloperies de hippies ! Je vous hais ! Je vous hais !

Mardi 17 mars 2009 à 0:59





Alors que le monde entier a les globes oculaires rivés sur ces barbus du moyen-orient, on en oublie trop souvent que comme la vérité, le danger est ailleurs. L’ennemi le plus redoutable n’affiche pas ses belliqueuses ambitions, surtout quand pour les mettre ne pratique il ne dispose que d’andouilles kamikazes (qui plombent en général autant des leurs que d’envahisseurs) et trois enturbannés enculeurs de chèvres perdus dans la montagne, la kalash’ à la main. L’ennemi n’envoi pas des satellites dans l’espace quand Dieu (Les USA) le regarde d’un air de dire qu’il va les envahir pour instaurer une démocratie, des Mc Donald’s, des casinos avec des tables de black-jack et des putes, ainsi que les incontournables pompes à pétrole, bref, tout ce qui fait un état de droit, un état de liberté. L’ennemi est là, il se terre dans l’ombre et attend son heure, comme un joli sida ou un adorable cancer. L’ennemi s’infiltre, séduit, aguiche le client comme une Josianne cachant ses bourrelets dans le latex odorant par une chaude nuit d’été dans le sud de la France.
L’ennemi de l’humanité, dont les machiavéliques ambitions comme la brutalité sournoise des méthodes qu’il emploie et qui font passer le IIIe Reich pour Disneyland,  ce ne sont pas des Musulmans intégristes, ce ne sont pas les lobby Juifs qui font mains basses sur le monde et son économie, ce ne sont pas les organisations souterraines de l’état américain contrôlant soi disant tout,  ce ne sont pas les chinois non plus… Mais alors, qui ? Te demandes-tu, frémissant petit lecteur. Et bien je vais te le dire, pauvre larve naïve. Ne le vois-tu pas ? Es-tu donc à ce point si bête ?
L’ennemi, celui qui héritera de la terre quand il nous aura tous massacré, et dont le pays fut découvert en 1534;  l’ennemi, qui puise ses origines chez nos ancêtres explorateurs et colonialistes Français; l’ennemi, fruit de relations incestueuses entre anglais, français et caribou… L’ennemi, c’est le Canada ! Bordel de merde !

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Mais n’avez-vous donc rien vu ? Inconscients ! Fous que vous êtes !
Celine Dion ! Garou ! Natasha(te) St-Pierre ! Ne sont-ce pas là les signes annonçant l’apocalypse imminente ?
Comment des êtres sortis tout droit de la bouche de l’enfer pourraient-ils être autre chose que l’œuvre de la déraison ?
Ces expressions, cet accent reconnaissable entre mille, n’est-ce pas là le sigle de ralliement d’êtres maléfiques ? Combien d’entre nous sont tombés aux mains de ce culte immonde en propageant cette culture ?
Et le caribou ? Est-ce-là une créature de Dieu, où l’immonde progéniture d’une fornication contre nature ? Je ne vous parlerai pas du castor, ni même de l’ornithorynque. Oui oui, parfaitement, l’ornithorynque… Fous que vous êtes ! L’ornithorynque est un hideux croisement entre un castor et un canard, créé par les Canadiens dans le but d’envahir le monde. Les moyens rudimentaires de l’époque ne permirent pas de créer Avril Lavigne comme c‘était prévu à l‘origine, mais à force de persévérance, en croisant les mêmes membres d’une famille de canards et de castors indéfiniment avant d‘y ajouter de la semence de Garou, les canadiens arrivèrent à leur fin. Bref, il y’a bien longtemps, l’ornithorynque fut donc offert aux australiens, eux-mêmes adeptes de relations incestueuses avec des animaux étranges (Kangourous, Koalas, Paul Hogan, Bushmen…) Bref.
Tout indique une volonté de semer le trouble, chez le canadien. Ceux d’entre nous qui auront tenté d’enduire l’intérieur d’une crèpe avec ce diabolique produit canadien qu’est le sirop d’érable le savent mieux que personne. Quelle créature peut manger convenablement une substance incapable de rester à l’intérieur de sa crèpe, sans vouer son âme à Satan ? Quel humain normalement constitué en aurait le pouvoir ? Qui, sinon celui là même qui le créa ? Qui, sinon le canadien, dont on peut entendre le rire perfide à chaque goûte perdue s’éclatant dans un soupir sur le rebord de votre assiette et dans laquelle vous poserez la manche de votre chemise propre…
Mais la fourberie des canadiens ne s’arrêtent pas à d’étranges expériences culinaires et génétiques ratées, et leur plan de conquête ne se limite pas aux chanteurs exaspérant tentant de nous pousser au suicide, non. Ce serait sous-estimer ce peuple barbare.
Le Canada est également présent dans le cinéma. Qui, sinon une société canadienne, pouvait produire des longs métrages sur les Bisounours, afin de ramollir nos jeunes bambins, garants de notre sécurité à venir, et ainsi anéantir toute résistance future en transformant de futurs soldats en tarlouzes hippies pacifiste ?
Qui, sinon les canadiens, pouvaient produire le film « ExistenZ», afin d’instaurer chez leurs ennemis la peur des nouvelles technologies et ainsi, nous empêcher de nous documenter sur ces contrées diaboliques ? N’était-ce pas là l’ébauche d’un plan de propagande de grande ampleur, afin de garantir au Canada le contrôle total sur ce qui se dit sur ce pays ? D’ailleurs, rien ne filtre sur le Canada… A en croire ce qu’on glane sur internet, il s’agit en apparence tout du moins, d’un pays presque respectable, si on ne prête pas attention aux détails.
Bien sûr, une résistance farouche tentera bien de nous avertir avec le dessin animé long métrage « Metal Hurlant : La machine à rêver », mais la force de son message restera  à jamais enfoui sous les énormes protubérances mammaires de ces plantureuses créatures féminines jalonnant ce bijoux unique en son genre.

Cette peuplade, ce pays, oublié de Dieu et des hommes, attend patiemment son heure, et les êtres immondes qui l’habitent, unis par un seul et même esprit dictant à chacune de ses artères sa volonté, feint l’amitié avec les autres peuples, mime le pacifisme pour mieux nous abuser, et tandis que nous nous endormons, sagement, sans aucune crainte, le Canada continue de faire tourner les rouages de sa pernicieuse machination. Il est peut être déjà trop tard. Qui sait, il y’a peut être un Canadien sous votre lit, ou dans votre entourage. Prenez garde, amis lecteurs. Ils sont là. On pourrait faire semblant, mais c’est un fait. Les canadiens existent bel et bien.


 

Jeudi 12 mars 2009 à 22:32



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Sarkozy qui veut en finir avec l’anti-Américanisme en France, c’est MAL !
Mais enfin, c’est pas nous qui n’aimons pas ces connards de gros porcs incultes, c’est eux qui nous aiment pas ! Bande d'enculés !

Les négationnistes et autres révisionnistes réabilité au sein de l’Eglise, c’est MAL !
D’un autre côté c’est pas comme si l’Eglise était une institution respectable.

La crise, c’est MAL !
C’est quand même le seul événement qui rapproche les deux couches de la société les plus éloignées : Les clodos et les millionnaires. Ce sont les seuls que la crise n’affecte pas.

La hausse du chômage, c’est MAL !
Au contraire, ça va permettre aux bars de gonfler leur chiffre d’affaire en ces temps difficiles. C'est bien connu, les inemployés sont des alcooliques et des faignasses. (Ce message est sponsorisé par l'UMP)

La grève dans les DOM-TOM, c’est MAL !
Mais qu’est qu’ils nous font chier ceux là ? On a déjà supprimé le fouet dans les relations de travail entre employeur et employé… Qu’est-ce qu’il leur faut de plus ? D'ici à ce qu'ils demandent l'abolition de l'esclavage, y'a pas des kilomètres... Comment ça ils l'ont déjà obtenu ? Gouvernement de tarlouzes !

L’Eglise excommunie des médecins pour avoir avorté une fillette tombée enceinte après avoir été violée, c’est MAL !
On apprend qu’ils ne seront pas excommuniés : pour se faire pardonner, ils ont violé la petite à nouveau, et sans capote, parce que la capote, c’est MAL ! Ils auraient également proféré des propos négationnistes envers l’holocauste, durant l'acte, histoire d’être sûr.

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La journée de la femme, c’est MAL !
Encore un événement qui va faire croire aux femmes qu’elles ont une quelconque importance aux yeux du monde…

Yvan Colona quitte son propre procès, et c’est MAL !
L’appel de la nature, la nostalgie du maquis : Il est allé pleurer dans un buisson.

Michèle Alliot-Marie qui ne voit aucun problème à ce que des CRS chargent des collégiens, c’est MAL !

Et elle a raison. Quand on est assez grand pour manifester, on l’est aussi assez pour se faire matraquer. C’est-ce que toute bonne démocratie devrait apprendre à ses citoyens. Ou une dictature…j’sais plus.

La loi internet et création, c’est MAL !
Non mais ho ! Vous croyez quoi ? Qu’on va laisser éternellement un large éventail de connaissances et un espace d’expression sans restriction, gratuitement (enfin si on veut), à la disposition du premier connard venu ? Hahaha ! Faudrait arrêter de rêver un peu. Remarque en même temps, si internet avait rendu les gens intelligents, ça se saurait.

Ségolène Royal qui réclame 50.000 € à Paris Match en justice pour des « photos volées », c’est MAL !
C'est exactement la somme demandée par la justice à un pédophile français qui se rendait régulièrement au Cambodge et qui y filmait ses ébats avec des prostituées mineures... Etrange non ? Enfin, blague à part, ça montre que le droit à l'image, on ne plaisante pas avec ça en France. Avant de filmer vos parties de jambes en l'air avec une asiatique de 14 ans, faites lui signer une décharge.

Après la tuerie dans un collège, l’Allemagne s’interroge, et c’est MAL !
Haaa, le peuple allemand dans toute sa splendeur: Des penseurs d’un côté et des barbares sanguinaires de l‘autre. L’Allemagne, terre de contraste…



«.´¯¯`•.,¸¸,.•´¯*Δ†ØЛ ǿF †ħэ ЄИĐ*¯`•.,¸¸,.•´¯¯`.»
( It's baaaaad ! M'kay ? ) 

Mercredi 11 février 2009 à 21:19




Nouvel épisode de "Bonne nuit les petits" (Enfin la première partie). Toujours aussi décalée et délicieusement incorrecte, la série qui brise les tabous, les codes du genre, la décence et la morale continue son chemin après déjà deux ans d’existence. Cela dit elle n’avait encore jamais atteint un rythme de publication sur ce blog aussi frénétique, m’enfin, c’est pas vous qui vous en plaindrez (et de toute façon je m’en tamponne).  Ce neuvième épisode prend donc place presque directement après la brutale séparation entre Nounours et le Marchand de Sable. En farfouillant un peu, pour ceux qui prendraient le train en marche, vous trouverez facilement les anciens épisodes (Vous verrez tas de moules, c’est pas compliqué…)


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Lundi 2 février 2009 à 0:09


Edit: Je viens de m'apercevoir que la série "Bonne nuit les petits " vient de passer le cap des deux ans. Et oui, comme vous pouvez le voir via le module "Retrospective" (en haut à droite) qui nous ressort du placard aléatoirement un article paru sur le blog deux ans auparavant, et bien on peut constater que le tout premier épisode des tribulations de Nounours date du jeudi 15 février 2007. Putain...


Dernière partie du huitième épisode de " Bonne nuit les petits ", dont vous pouvez retrouver les planches précédentes dans la catégorie du même nom (Menu de droite). D'ailleurs je vous conseille fortement de les lire si vous n'êtes pas (encore) un accroc de la série.


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FIN

(De l'épisode hein... Y'en aura d'autres, paniquez pas.)

 


Mercredi 21 janvier 2009 à 22:35

Troisième partie du huitième épisode de ma BD « Bonne nuit les petits », la série la plus plébiscitée de ce blog, et la meilleure qui soit sur cowblog en matière de bande dessinée (Haha je vous la mets bien profond, dessineux de tous poils de notre bien aimée plateforme ! Admirez mon gros talent ! Tu le sens là mon gros talent ? HEIN ? TU LE SENS ?! hum... poursuivons) Nous avions laissé Nounours en proie à un doute affreux, alors qu'il se reposait bien tranquillement devant la télé en sifflant une bière sur son canapé... Il n'avait pas tort de s'inquiéter, car effectivement, on allait bien venir le faire chier. Si vous êtes un néophyte, vous pouvez combler vos lacunes en vous reportant à la catégorie « Bonne nuit les petits » via le menu de droite (On ne le dira jamais assez)


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(A suivre...)

Lundi 19 janvier 2009 à 17:07

 

Suite et fin du mini-récit "Père Noël II - La mission", dont vous pouvez trouver la première partie un peu plus bas, ou bien en cliquant > ici <

 

Arrivé au dessus du Togobian, Père Noël retira ses vêtements, la chaleur saharienne étant relativement intense, pour peu qu'en plus d'être vêtu comme pour une ascension de l'Everest, vous soyez obèse. En survolant ce pays, frontalier avec une autre contrée dont tout le monde se branle à part Bono de U2 et quelques rappeurs (sic) français (sic) qui veulent jouer la carte de l'engagement gratuit, le Darfour, Père Noël constata que vivre ici, c'était vraiment l'angoisse. Du sable partout, des maisons faites en bouse de vache séchée... Et rien d'autre. Il comprit alors que si on pouvait amener l'esprit de noël quelque part, c'est bien ici. Grâce à son GPS (vous croyez qu'il se repère aux étoiles ? Bande de larves...) Père Noël trouva la hutte en étrons de bovidés du petit estropié qui lui avait écrit. Il se posa, décapsula une bière, et entra pour faire face à une petit merde, sans bras ni jambes, rongé par la lèpre et maigre comme un...bah, comme un Togobianais.
Le petit enfant, auquel je ne vais pas me faire chier à trouver un nom typique qu'on donne au merdeux dans les tribus nord africaines pour faire plus réaliste, et que nous appellerons donc Hector, n'en revenait pas. Pour la première fois de sa vie, il avait attiré l'attention de quelqu'un qui viendrait faire son bonheur.
Père Noël s'avança et lui décrocha un magistral coup de poing dans la gueule, agrémenté d'un "Hohoho ! Joyeux Noël petit enculé !"
Les larmes montèrent, mais avec la déshydratation, verser une larme est potentiellement mortel, Hector se retint alors, pour préserver ce qui restait de sa triste vie.
Père Noël but une rasade de bière, fixa Hector, gisant à terre.
"J'ai lu ta lettre, sale petit morveux. Non mais tu crois quoi ? Que je suis un fournisseur de paix dans le monde ? Putain mais vous êtes vraiment cons vous les pauvres ! Je suis le symbole du mercantilisme absolu, presque religieux même ! Je suis un pourvoyeur de cochonneries créé de toute pièce par un Américain bordel de merde ! Demande moi des objets, des jouets, du fric même, vends moi ton âme d'enfant au bonheur de la possession, après tout, si tu comptes encore sur l'espoir de lendemains meilleurs pour toi et les tiens, alors suicide toi tout de suite, parce que le bonheur, c'est pas ça... C'est pas ça petit."
Père Noël tourna les talons, pour masquer une larme qui perlait à son œil unique (son autre œil est un œil de verre, un petit garçon du nom de Jean-Marie lui aurait arraché il y a fort longtemps).
Hector rampa au pied du Père Noël avant de prononcer ses paroles.
"Si toi même tu crois que toute chose est linéaire, que le changement n'existe pas, si tu te soumets, toi qui le premier devrait croire en l'esprit de Noël, alors tue moi ! Je refuse de vivre dans un monde où l'on tient pour acquis que nous sommes ce que le monde a fait de nous, et pas ce que nous choisissons d'être...
- Ha parce que tu as choisi d'être lépreux et cul de jatte
?
- Tu me vois comme ça, moi, je me vois comme un enfant. Je suis un enfant qui veut transmettre son bonheur à son peuple qui s'entredéchire pour Dieu seul sait quoi.  Je dois montrer aux Hommes que l'esprit de Noël, c'est se rassembler, et j'ai besoin du Père Noël pour ça, pas d'un looser alcoolique. Alors laisse-moi te demander... Es-tu le Père Noël ?"

Père Noël semblait figé. Quand soudain, il attrapa Hector et le plaça sur son épaule, avant de l'embarquer sur son traineau.
" Tu sais quoi petit, je crois que nous avons raison tout les deux. L'esprit de Noêl, c'est rassembler les Hommes, mais comment rassembler et rendre heureux dans ces contrées où personne ne possède rien. La possession ne fait pas le bonheur, mais elle peut y contribuer, alors cette année, nous feront un cadeau à tout ton peuple."
Père Noël se dirigea d'abord vers le nord, ou vivait l'ethnie des Jean-Jacques (Cherchez pas, j'avais la flemme de chercher des noms simili-tribaux) et il jeta l'un de ses énormes sacs. Il fila ensuite vers le sud, où vivait l'ethnie ennemies des Jean-Jacques, les terribles Kevins (Idem, la flemme) et leur jeta eux aussi un énorme sac. Quelques minutes plus tard, une marée humaine déferlait au nord, et une autre au sud. Chaque tribu partait à la rencontre de l’autre. L'espace d'un instant, Hector se permit de verser une larme, car la joie était trop grande... Elle fut de courte durée, il y'eut de terrible échanges de tirs d'armes hypersophistiquées et les deux tribus s’éteignirent en même temps, après quelques minutes de combat. Hector, incrédule, tenta de comprendre d'où pouvait bien provenir ces armes, son peuple ne possédait jusqu'à lors que des machettes.
"Enfin, petit... je pensais que tu avais pigé. Ce sont mes cadeaux à ton peuple. Des armes.
- Mais... Mais... Pourquoi ?
- Bah tu voulais réunir les deux tribus dans la joie, et que cesse enfin la guerre. Ton Noël s'est réalisé. Je vois pas où est le problème... En plus c'est gratuit, cadeau de l'oncle Sam
. D'ailleurs ce serait bien de pas traîner, j'ai une livraison à faire en Israel."
Hector se mit à insulter Père Noël, et ce dernier, blessé par une si grande ingratitude, jeta le petit morveux par dessus bord. Hector survécu à sa chute, il regagna son foyer en rampant au bout de deux semaines d'errance au milieu des cadavres et du désert, et mourut du SIDA juste à l'entrée de sa petite maison faite de bouse de vache séchée. La lèpre en fut d'ailleurs fortement vexée, mais le SIDA lui fit remarquer qu'il était là le premier.
Père Noël regagna le pôle nord, les commandes furent honorées, on licencia le personnel des lutins juste après les fêtes pour délocaliser définitivement en Chine. Père Noël fut également licencié, mais il avait prévu un parachute dorée ainsi qu'un compte en suisse. Il vendit les droits de l'image "Père Noël" à la république populaire de Chine, qui incarnait finalement selon lui, le véritable esprit Noël : Du rouge avec une grosse touche de capitalisme dedans.


FIN
(Les articles "spécial Noël" c'est MAL !)

 

Mercredi 14 janvier 2009 à 23:02


Suite du huitième épisode de la BD Nounours (Dont le titre exact est "Bonne nuit les petits"  rappelons le, mais ce titre est passé vite aux oubliettes, la faute au charisme de son personnage principal), dont vous pouvez lire la première planche dans cet > article <, ou sinon, reportez vous à la catégorie "Bonne nuit les petits ". Les prochaines planches sont en préparation, ainsi que la fin de ma nouvelle " Père Noël 2 : La mission ". Plus quelques petits articles encore à coucher sur papier (enfin sur word), juste encore à l'état de larves d'idées. De l'article en perspective donc. D'ailleurs au passage, vous noterez qu'un deuxième habillage est disponible (enfin j'ai juste changé de fond) et qu'il est consacré à l'univers de Bonne nuit les petits. Pour ceux qui préfère voir un dictateur éructer au milieu d'une armée de Shoum's, l'ancien est toujours disponible via le module "uniforme".



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A suivre...

Mercredi 7 janvier 2009 à 22:35



On dira encore que je suis un vieux con avant l’âge, mais n’empêche que ça va trop loin ces conneries.  Nous autres, honnêtes citoyens, n’avons que trop enduré les exactions militantistes de groupuscules syndicalistes de tous poils. Une fois encore, on paralyse ceux qui veulent s’en sortir, ceux qui travaillent sans rien demander à personne. Fallait-il que je me lève en cette triste journée, pour affronter, en plus des tracasseries quotidiennes, les affres des blocus dont sont responsables une tripotée de démons cégétistes ?http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/SPMA0003-copie-2.jpg Aujourd’hui, la ville de Marseille était une fois de plus quasi-paralysée. Les raisons de ce blocus sont, comme à l’accoutumée, obscures, hésitantes. On ose, mais pas trop. Les premiers touchés sont les gens comme vous et moi, victimes d’une prise d’otage au milieu d’un conflit qui ne nous concerne pas. Pris en otage ! Exactement ! Osons le terme. Rues impraticables, transports publiques inexistants, petits commerces et grandes enseignes pour la plupart fermées… Un seul mot pourrait qualifier ceci : Le chaos.
Impensable, en plein milieu de la semaine, mais c’est pourtant ce jour là qu’ont choisi ces manifestants pour ouvrir leurs sales gueules habituellement si pleines de bons mots et de slogans enflammés, chantant de concert des hymnes d’une qualité au dessus de tout soupçon sur des rythmes à faire pâlir Ray Charles et James Brown réunis (Faire un pâlir un afro-américain n’est pourtant pas chose aisée), avant d’entamer un baroud d’honneur en scandant « l’internationale »…
Biens condescendants sont ceux d’entre vous qui « les comprennent » et les soutiennent dans leur lutte, mais ce n’est  pas mon cas. Ca ne tiendrait qu’à moi, on aurait ramassé cette bande de faignasses avant d’envoyer tout ça dans un four ! Exactement.
Non parce que ce matin, cent cinquante millions de milliards puissance cent milliards de putain de flocons de neiges de merde selon les organisateurs, la moitié selon la police, ont décidé de paralyser la cité phocéenne, nous sommes, nous autres braves citoyens, les esclaves du péril rouge… Enfin blanc dans le cas précis.
 
http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/SPA0656.jpgL'avenue du Prado à Marseille, en proie au chaos. Observez la panique générale qui s'empare du centre ville

Et les jeunes ? Quelqu’un a-t-il pensé aux jeunes ? Ha bien sûr, ils sont les premiers à grossir les rangs de n’importe quelle manifestation tant que ça leur permet de croire qu’ils disposent d’une conscience politique développée et d’un avis éclairé sur une sujet dont-ils ne naissent rien, et le pire, c’est qu’ils en sont content ! Fallait les voir, au milieu des flocons ! Insouciants ! Et votre avenir bande de sous merdes ! Y avez-vous pensé seulement une seconde ! Non quelle idée. Et ce qui me met hors de moi, c’est qu’évidemment, ils avaient l’aval du ministère de l’éducation nationale qui décida de fermer les établissement scolaire, certainement apeurée par cette foule grandissante !

Voici le vrai visage de la France, la loi du nombre ! Honteux !
En cette période de crise, ce qu’il faut, c’est se retrousser les manches, pas sombrer dans le misérabilisme en demandant aux autres de régler le problème mais sans rien toucher  à ce qui existe aujourd’hui même si on admet bien volontiers qu’effectivement, la situation actuelle c’est de la merde. Il faut galvaniser le peuple, pas le conduire à penser en termes de révolutions chimériques aux allures de pet de lapin, car demain, tout sera oublié, tout aura fondu, dissous dans les abîmes du quotidien. C’est bien beau de tomber comme ça sans crier gare, de foutre sa merde, et de se barrer la queue entre les jambes ! Cela dit, à voir autant d’efficacité sur le long terme, on comprend la crainte de tels mollusques pour leur avenir. C’est rassurant, de voir des choses inutiles marquées du sceau de l’éphémère.
Mais rebellez vous un peu bordel de merde ! Du sel la dessus et on parle plus. Qu’on leur explose la gueule à tous ces cons ! Au four bordel à cul ! AU FOUR ! (En plus la neige a cet avantage de fondre facilement à haute température et de ne pas laisser trace de son passage, ça pourrait éviter des emmerdes et des procès pour génocide.)

http://atom-of-the-end.cowblog.fr/images/SPMA0004.jpg(Le mot de la fin, comprenne qui pourra)
 

Mercredi 31 décembre 2008 à 10:36

 

Au pôle nord, royaume éternel de l'obèse tout de rouge vêtu, l'effervescence est à son comble, car ce soir, c'est le réveillon de noël. Il est midi et demi, et le Père Noël se lève enfin, avec la gueule de bois.  Il titube au milieu des cadavres de bières et des détritus qui jonchent le sol de sa chambre crasseuse et minuscule, tandis que son regard vide trahit sa vivacité d'esprit de parasite sociétaire et de fonctionnaire saisonnier. Il se gratte le cul, rote, et enfile sa tenue officielle, ce même accoutrement ridicule qu'il porte depuis des siècles, qui n'est toujours pas lavé et dont le futal ne se ferme plus depuis que le tour de taille de notre gros connard rouge a légèrement augmenté. Débraillé, la tête dans le rectum, tenant son pantalon d'une main et une flasque d'eau de vie dans l'autre, Père Noël se dirige vers les ateliers des lutins.

Dans l'atelier de ces nains de noël, seulement la moitié des effectifs est à son poste, l'autre moitié étant en arrêt maladie depuis Dieu sait quand. Les seuls présents font le travail à moitié, prennent des pauses café à répétition et écoute des chansons débiles à la radio (Et encore, c'est quand ils ne sont pas en grève). L'usine est sale et mal entretenue, on peine à croire qu'elle fut un jour lumineuse, qu'elle fut la quintessence  de l'esprit de Noël, (elle ne l'a jamais été, me dit-on) et que ses employés travaillaient avec joie et gaieté sans aucune rémunération. C'était le bon temps de l'esclavage et de la discrimination. C'est d'ailleurs, étrangement, ce qui les conduisit entre autre à se syndiquer pour obtenir un salaire, et immanquablement, ils devinrent de grosses feignasses. Y'a des coups de fouets qui se perdent je vous jure.
Père Noël, qui aimait particulièrement chahuter avec ses joyeux employés en ce jour particulier, fila un grand coup de pied dans la gueule du premier gnome cégétiste qu'il croisa. Il l'acheva à grands renforts de coup de talon à l'arrière du crâne, riant à gorge déployée en s’envoyant de grandes lampées d’eau de vie et sans que personne dans l'usine ne prête la moindre attention à ce spectacle touchant qui nous rappelle que l’esprit de noël, c’est avant tout la chaleur du contact humain dans l’indifférence. De toute façon, depuis que les trois quarts de la production avaient été délocalisés en Chine, tout le monde se foutait de tout dans cette manufacture. De nombreux nabots sont d’ailleurs depuis longtemps sous antidépresseurs, enfin bref.

Le rôle du Père Noël consistait désormais à attendre des Chinois en traîneaux volant pour leur donner leurs itinéraires et le listing des clients. Éventuellement, il peut lire quelques lettres d'enfants du monde entier, qui sont classés suivant leur continent de résidence. Et ce jour ci, pour la toute première fois, Père Noël ouvrit une carte de vœux venant d'Afrique, lointaine contrée où il n'avait jamais posé le renne ... (Vous croyez quand même pas qu'un vieux caucasien, que le Père Noël, symbole du mercantilisme le plus absolu, vêtu pour affronter les plus basses températures, va pointer sa grosse carcasse en plein désert pour faire une tournée des pays pauvres... Bref) Il s'agissait d'une lettre d'un jeune garçon, que je vais vous restituer ici même :

"Cher Père Noël,
On dit que partout dans le monde, lorsqu'un enfant a été bien sage, il peut voir son vœu exaucé pour Noël par tes soins, aussi, ayant été un enfant plus que modèle au point de remercier mes bourreaux lorsqu'ils me coupèrent les jambes à la machette, je souhaite que cette année, tu penses un peu à moi.
Contrairement aux enfants du reste du monde, du moins ceux à qui tu rends visite habituellement, je ne suis pas attiré par les jouets et tout ce qui, d'une façon général, nécessite des doigts pour l'utiliser, la lèpre me les ayant enlevé... Pour info, je rédige cette lettre avec un bout de charbon entre les dents. Pour Noël, je ne veux pas de jouets, car ce n'est pas ce qui rend un enfant heureux. Je voudrais que mes parents reviennent, eux qui ont succombé au SIDA l'an passé, je voudrais que s'installe la paix, prospérité et abondance dans ce pays où nous ne connaissons que misère, guerre et privations. Je veux un monde meilleur pour moi et mes semblables.
Voilà bien des années que je t'écris, j'espère avoir cette année au moins une réponse. Merci.
"

Voici bien longtemps que Père Noël, plongé dans l'alcoolisme et l'enfer des casinos, avec ses tables de Black Jack et ses putes, n'avait pas été enveloppé d'une telle chaleur à la veille de Noël, d'une telle envie de bouger son gros cul flasque. Sans mot dire, il traversa son usine, chargea un sac de cadeaux mystérieux et énormes, enfila ses rennes et harnacha ses bottes (puis l'inverse) et s'envola vers le Togobian (cherchez pas, c'est un pays tellement minable qu'ils n'ont pas osé le foutre sur la carte).

 
A suivre...
 

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