Les lecteurs de ce blog, éclairés par mes écrits, ma ténacité et mon courage, auront vite compris que surgissent de toute part nos ennemis. Loin de le voir comme une fatalité, j'ai décidé de voir l'ennemi, ou "l'obstacle", comme une chance de progrès pour celui qui cherche à s'élever - l'obstacle n'ayant pas grand intérêt lorsqu'on tente de s'enterrer telle une autruche pour ne pas voir sa propre misère intellectuelle. Grâce à moi, nombreux sont les ennemis que vous êtes capables d'identifier. Cela dit, quand on prend un malin plaisir à détester tout le monde, usant des prétextes les plus absurdes comme des clichés les plus durs et les plus répandus pour justifier une telle haine - mais toujours dans la bonne humeur -, des ennemis, il en reste toujours. Avec un peu de bonne volonté, on peut haïr n'importe qui. Les aficionados de ce blog se souviennent des traités de sociologie de l'absurde, qui avaient emboîté le pas à Dictature Scripturale, où j’éructais déjà ma haine de l’autre. Aussi ce pamphlet du jour aura certainement un petit goût de déjà vu, car j’avais déjà fait un sort au Rasta et tout ce qui touche ces cultures chevelus, gardiennes mollassonnes du culte de l’inutilité complaisante et bon marché pour dépravés oisifs.
Pourtant, nous avons bien souvent murmuré son nom en commentaire, usé de son image dégradante pour qualifier un pacifisme surfait pour tarlouzes décérébrées ou une tolérance contradictoire chez mes plus mous mais néanmoins farouches opposants. Nous avons beaucoup parlé des hippies, au point d’en faire l’équivalent de ce qu’est un croque-mitaine ou d’un Mickael Jackson pour un enfant, ou plus généralement, de ce qu’est l’ennemi pour un peuple à la dérive : Un individu/ennemi désigné aux attitudes surexagérées, au physique à la limite de la caricature, un individu qui gangrène l’humanité, et dont les machinations machiavéliques doivent en premier lieu inspirer la crainte, avant de devenir l’élément fédérateur qui sauvera notre peuple de l’asservissement idéologique, voir pire, de l’anéantissement. Viennent donc s’ajouter les hippies à la longue liste de mes ennemis, comprenant déjà les canadiens, les vieux, les pauvres, les guntéïformes, les paysans, les Kevins et autres adolescents suintant l’acné, les mendiants-moignons, les tolérants, les tibétains, les végétariens, les écolos etc…
Car le hippie, c’est le mal incarné. C’est l’inaction immobile et moralisatrice - paradoxal, non ?- qui pose l’inutile irréfléchi en modèle de maturité et conscience intelligible.
Mais comment un individu si insignifiant pourrait influencer notre planète me direz vous ? C’est très simple.
Tout d’abord, par son anti-consumérisme implacable. Le hippie prévoyait, il y’a quarante ans, une crise majeure de l’économie mondiale, et qu’a-t-il fait pour relancer la machine ? A l’instar de tout pauvre qui se respecte, il n’a fait strictement RIEN. Le hippie ne fait jamais rien. Et c’est de la force de son immobilisme qu’il tire toute sa puissance. Car en persistant à ne rien faire, il a, en plus, aggravé la crise économique. Bien sûr, son attitude anti-système ne va pas jusqu’à refuser les aides sociales qui lui permettent d'habiter à l’arrache dans des yourtes plantées en plein champs, qu’il occupe illégalement, se nourrissant pour seulement cinquante euros de légumes par mois, afin de vivre et de donner des leçons qui font de nous des cons supportant le fardeau d’un boulot asservissant que nous détestons, passant à côté des vrais valeurs de la vie. Connards de Hippies. En ne faisant rien pour devenir réellement un marginal, une fois encore, il gagne la partie.
Ensuite, le hippie bien que pacifiste et protecteur des forêts, contribue activement - par son oisiveté - à la déforestation du poumon vert de la planète ainsi qu’au terrorisme international. Car ne rien foutre, pourquoi pas, mais c’est évidemment plus appréciable - et plus supportable - lorsque l’on est totalement défoncé, comme seule une sale sous-merde de hippie peut l’être. Car la drogue, on le sait, finance des groupes armés partout dans le monde qui assoient leur domination sur les régions les plus abandonnées du monde, ou d’innocents civils subissent la lois de barbares obsédés par le pouvoir et l’argent. Si le hippie est pacifiste, par procuration, c’est en réalité l’être le plus malveillant et violent qui soit, et ses mains maculées d’un sang invisible décrédibilise totalement leurs discours de tarlouzes. Sans compter que ce protecteur des espace vert, en appuyant financièrement, avec notre argent, le renforcement des cartels de la drogue, contribue à la déforestation entreprise par les marchants de mort qui pour cultiver plus, gagnent du terrain sur les forêts. Il va s’en dire que tout l’écosystème s’en trouve bouleversé, et du coup, les animaux si chers aux cœurs de ces chevelus crasseux, crèvent comme des merdes. Après personnellement je m’en tamponne de l’écologie, des animaux, et de l’avenir de la planète, c’est juste pour vous faire prendre conscience de la fourberie de ceux qui nous expliquent, dès qu’on leur en donne l’occasion - parce qu’en ce moment c’est tendance les émissions sur les inadaptés sociaux - comment vivre mieux et en complète harmonie avec le monde, en suivant leurs conseils de dégénérés.
Ajoutons que pour consommer sa drogue, le hippie use généralement de feuille pour rouler sa merde. Bien sûr, ils vous répondront utiliser des feuilles de chanvre, ou encore une pipe à eau et ainsi de suite, mais c’est finalement leur seul geste écolo… Si on excepte qu’il contribue au réchauffement climatique en fumant.
C’est un fait, l’oisif chevelu, reconnaissable à son dos bossu, son regard perfide, à ses doigts et son long nez crochus, cherche par tout les moyens à précipiter ce monde dans le chaos, alors qu’il prétend avoir d’excellentes idées et un mode de vie irréprochable pour sauver notre espèce. Haha ! Démasqués, enfoirés de hippies !
Et puis de toute façon, en plus d’être l’instigateur des forces communistes, le hippie en tant que personne, c’est un déchet et puis c’est tout. Le hippie est sale, marche pieds nus pour cultiver les champignons sous ses ongles qu’il espère hallucinogènes, il est mou, tient des propos incohérents, ne bouge pas, joue de la musique de merde sur une guitare mal accordée, accompagné généralement par les même loques que lui, chantant flasquement des chants propagandistes ou tapant sur de petits tam-tam à la con, autour d’un feu de camp. Saloperies de hippies ! Je vous hais ! Je vous hais !